Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/71

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


XXVII


HALLUCINATION.


C’était une affreuse agonie ! Rien ne se peut comparer à ce lent, à ce mortel supplice. L’idée seule de cette impitoyable torture serre le cœur et amène le frisson.