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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/101

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gré moi, si ma volonté se montrait rebelle. J’aime… Mais me comprenez-vous ?

À cette brusque question, les traits du comte s’épanouirent en une gaîté railleuse et grossière.

— Oui, monsieur, oui, monsieur ! répondit-il, et jamais, sur mon salut, confidence amoureuse ne m’a rendu plus aise… Ah ! vous aimez tant que cela, monsieur !

Le ton de White-Manor, hypocritement contenu, changea tout à coup avant que Brian pût répondre. Il poursuivit avec éclat :

— Et vous venez m’imposer d’insolentes conditions, me demander ma fortune, que sais-