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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/104

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— Milord, dit-il, discuter sur ce ton ne convient point entre gentlemen, et vos façons me décident à brusquer le dénouement de cette entrevue… Voulez-vous, oui ou non, signer l’obligation que je demande à Votre Seigneurie ?

— Non, mille fois non ! s’écria le comte. Je veux que vous sortiez de chez moi, reconduit par mes valets ; je veux que vous passiez sur-le-champ cette porte que je vous défends de franchir jamais… Je vous chasse, monsieur… Et, usant du droit de tout Anglais dont le domicile est violé par un espion ou par un voleur, je vous menace, si vous ne sortez pas à l’instant même, de vous jeter mort sur le carreau.