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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/119

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— Je crierai : — Pitié mon frère !  !

White-Manor tomba sur ses genoux. De grosses gouttes de sueur roulaient le long de ses tempes.

— Pitié ! prononça-t-il en un râle déchirant ; — c’est moi qui vous demande pitié !