Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/140

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

nelles avec une surprenante agilité. — Quant à votre commisération, je vous en tiens bon compte, mais je n’en ai que faire… ma cécité ne m’empêche pas de voir le triste changement opéré chez Votre Seigneurie…

— Vous n’êtes donc pas aveugle ?

— Il me fallait un masque, milord. — Et puis je ne sais rien de tel que d’être aveugle pour distinguer les choses qui échappent aux plus clairvoyants… Mais revenons à vous… Vrai, White-Manor, vous n’êtes plus que l’ombre de vous-même.

— Je souffre beaucoup ! dit le comte d’un air sombre.