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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/142

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— Ruiné ? dit Tyrrel en dressant l’oreille.

— Il vient de me faire signer un acte infâme ! s’écria White-Manor d’un ton plaintif et presque larmoyant, — un acte qui me dépouille et le fait mon héritier de mon vivant.

Tyrrel respira.

— Bah ! fit-il d’un air dégagé. — Après ?

— Que voulez-vous de plus, Spencer ?… Il ne manque à cet acte que quelques lignes. Je suis ruiné.

— Tudieu ! milord, murmura Tyrrel d’une voix basse, mais vibrante, — que vous béniriez Dieu, n’est-ce pas, si votre frère mourait ce soir de mort subite ?