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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/173

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— Ainsi soit-il, milord, répondit Lancester.

— J’espère, reprit le comte, que vous serez clément envers moi désormais, et que les nobles dames du West-End tariront un peu sur les récits de vos triomphantes eccentricities. Celle-ci achève la bataille et doit être la dernière.

— Cela dépend de vous, milord.

— Jusqu’au revoir, mon frère !

Brian salua et sortit.

Le comte respira longuement et fit jouer le châssis de cette même fenêtre par où Brian avait voulu s’élancer, tête première, sur les