Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/239

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Fergus, du reste, ne leur donnait point plus d’attention qu’aux ladies. Sa réflexion était si profonde, l’intensité de son travail d’esprit était si grande, que Ses yeux perdaient presque la faculté de voir.

Une fois pourtant, il fut tiré brusquement de son incessante préoccupation. C’était dans le Parc-Vert. Au détour d’une allée, un cri perçant vint frapper l’oreille de Fergus, Ce cri, c’était une voix bien connue et autrefois bien chère qui le proférait. Il se détourna vivement. — Un équipage armorié rasait silencieusement le sable de l’allée ; à la portière une gracieuse tête se penchait, qui souriait, émue.

Fergus pâlit et fut prêt à défaillir. Puis un