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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/264

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tres voltigent et passent, effacés à demi, pâles, inaperçus…

Fergus passa douze heures avec son délicieux rêve.

Le lendemain, dès le matin, Angus Mac-Farlane vint le visiter. — Il y a comme cela des sympathies. Mac-Farlane eût été l’ami de Fergus malgré Fergus.

Mais ce dernier n’avait garde de repousser l’amitié précieuse du frère de Mary. Entre eux, grâce à ce lien puissant, l’intimité marcha vite. L’amour alla le même train. Mary, naïve et simple enfant, ne pouvait résister long-temps à ce beau Fergus qui avait en quelque sorte,