Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/280

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

point recevoir vingt coups de coude par minute.

— Allons, monsieur, dit Godfrey d’un ton provoquant, — s’il vous plaît de continuer ici notre entretien, je suis à vos ordres.

— Il me plaît, monsieur, répliqua Fergus en s’avançant, de vous demander compte de votre brutale insolence.

— Soit, jeune homme. Je vais vous rendre mes comptes… et je serai bien trompé, pardieu ! si vous vous avisez de m’en demander jamais d’autres… Procédons par ordre : d’abord, vous aimez miss Mac-Farlane, et cela ne me convient pas… Ensuite, je crois que