Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/290

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

traits doux et charmants avaient pris une sauvage et implacable puissance…

Il ramena les bras de Godfrey en arrière et les lâcha tout à coup pour jeter les siens autour des reins du nobleman terrifié, qui se sentit perdre plante. — L’assistance vit les traits de M. de Lancester se contracter horriblement, et entendit un sourd craquement d’os broyés. — Fergus alors lâcha prise, et Godfrey s’affaissa, inerte, sur le sol.

— Il est mort ! il est mort ! cria-t-on de toutes parts.

Et la foula s’ébranla, non point encore pour secourir, mais pour toucher après avoir vu.

Ce mouvement livra passage aux hommes