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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/347

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tous jusqu’au dernier quelque jour, si les étrivières ne jouent pas avant ce soir !

Les déportés se dispersèrent. Randal seul demeura appuyé contre le plat-bord, auprès de Fergus. Celui-ci voulut le remercier ; car c’était Randal qui lui avait soufflé la réponse au mot d’ordre.

Mais à peine O’Breane eut-il ouvert la bouche, que l’Écossais lui jeta un regard d’indifférence glacée et tourna le dos pour s’éloigner lentement.

La nuit venue, la ronde eut lieu comme à l’ordinaire, et Fergus remarqua que les gardiens étaient cette fois tous les quatre de ceux