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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/350

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mes, malades ou ne sachant point nager, Randal et Fergus.

— Allons ! mille misères ! dit O’Chrane, dépêchez-vous ! les cordes m’entrent dans la chair !

Fergus mit sa tête dans l’ouverture. — Randal l’arrêta par derrière.

— Où allez-vous ? demanda-t-il.

Fergus, étonné de cette question, demeura sans réponse.

— Vous allez chercher, reprit lentement Randal, ce que vous aimez et que vous haïssez… Je sais votre histoire, votre amour qui