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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/37

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se dit qu’à tout le moins ils ne les vendraient pas dans la rue de Devonshire.

Il descendit au rez-de-chaussée et revint bientôt à sa fenêtre, porteur du seul et dernier exemplaire du Moon qui restât dans les bureaux.

Presque aussitôt après, une voix lente, monotone, ponctuée, tomba dans la rue, faisant taire à la fois les cris des newsmen et les commérages de la foule.

Voici ce qu’elle disait :

« Détails authentiques touchant l’assassinat horrible tenté sur la personne auguste de S. A. R. la princesse Alexandrine-Victoria de