Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/388

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cette diplomatie féminine qui avait assuré son empire à Londres. Elle était jeune et jolie alors, le charme opéra. Quelque gros libéré la couvrit de sa protection intéressée.

Mais il y avait bien long-temps que Maudlin était dans la colonie. Les grâces de sa petite personne, grâces mignardes, gentilles, provocantes, mais qui avaient besoin pour plaire de s’allier à la jeunesse en toute sa fleur, diminuèrent insensiblement, puis disparurent. Maudlin comtesse eût encore dominé par l’adresse recherchée de son esprit, mais à Sidney cette monnaie n’a point cours.

On envoya Maudlin à Paramatta. Premier exil, première chute.