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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/41

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serre japonaise. — Suivant d’autres versions, c’est la princesse elle-même qui l’aurait découvert au moment où il braquait sur elle le canon d’un pistolet bourré jusqu’à la gueule. »

— Jusqu’à la gueule ! répéta mistress Crubb ; — ah ! lord !…

— La paix ! tonnerre du ciel !… Écoutez, Dorothy !

« … Jusqu’à la gueule. À la vue de cette arme redoutable, la jeune princesse aurait poussé un cri d’épouvante… »

— Ah ! lord ! je crois bien ! pauvre cher trésor !