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Page:Fantasmagoriana (tome 2).djvu/204

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le revenant.

le revoir ; il étoit fort aimable : on ne lui reprochoit autre chose que de se plaire dans une vie dissipée, et de ne pas vouloir entendre parler de mariage.

L’entrée de Julie priva la société du plaisir d’entendre davantage M. de Rosen, qui la charmoit par ses récits pleins de gaîté et d’intérêt. Il entama, avec la veuve de son ami, un entretien qui ne fut que rarement interrompu par la conversation générale ; il se soutint avec la même vivacité jusqu’à l’instant du départ, et fut continué le lendemain matin au logis de Julie.

Les visions en avoient fait le sujet : M. de Rosen s’en étoit depuis long-temps déclaré l’antagoniste le plus opiniâtre, et avoit, même avant la mort du docteur, expli-