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la chambre noire.
nous lisions les nouvelles littéraires, et nous faisions nos observations.
Un jour, le greffier tarda plus long-temps que de coutume. Nous grondâmes pendant un petit quart-d’heure ; après quoi, nous prîmes le parti de commencer notre lecture sans lui. L’Indicateur universel et le Sincère[1] venoient d’arriver. Nous n’avions, par conséquent, pas de temps à perdre. Je pris l’Indicateur, qui faisoit partie de mes attributions, et je le lus.
La première page contenoit des remontrances adressées au Sincère sur la Chambre grise. Je les parcourus avec une joie secrète, parce que je m’étois déjà disputé
- ↑ Titre de deux journaux de Berlin généralement recherchés.
