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seur montagnard, la vue des gardiens du monde, l’acquisition du trait nommé Pàçoupata, 434.

Et le voyage de Kirîti au monde de Mahéndra pour avoir des armes, et Dhritarâshtra concevant de plus hautes pensées ; 435.

La vue de Vrihadaçwa, le maharshi contemplatif, le malheur et la plainte d’Youddhishthira désolé par l’absence d’Arjouna. 436.

Le vertueux et touchant épisode de Nala, la constance de Damayanti et la conduite de Nala. 437.

Ensuite Lomaça vient du ciel vers les Pândouides ; ils reçoivent de ce grand rishi la joie, que donne la possession de la science sacrée. 438.

Lomaça raconte à ces magnanimes héros, établis dans les bois, la vie, qu’Arjourna coule dans le Swarga. 439.

Alors, suivant les avis d’Arjouna, ils font un pèlerinage aux tîrthas : on en dit la pureté et les mérites acquis dans ces pieuses excursions. 440.

Le maharshi Nârada visite le tîrtha de Poulastya, et les magnanimes Pândouides viennent eux-mêmes à ce lieu saint. 441.

Karna se débarrasse de Pourandara en lui donnant ses boucles-d’oreille. L’excellence du sacrifice offert par Gaya est racontée là, 442.

Où se trouve l’épisode d’Agastya, qui mange Vâtâpi, et la venue de Lopamoudrâ, pour obtenir un enfant du rishi. 443.

Histoire de Rishyaçringa, le jeune brahmatchâri ; histoire de Râma le Djamadagnide à la vaste splendeur.

C’est là qu’est narrée la mort de Karttavîrya et des Haîhayains, ainsi que la rencontre des Pândouides et des Vrishnides au bain sacré de Prabhâsa. 444-445.