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Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/220

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entendu… Oui, oui, c’est vous, qui serez ma petite femme !

Dotty. — Yes, yes.

Bichon, paraissant à la porte, tout en parlant à la cantonade. — Dis donc, Gérard… (Apercevant Saint-Franquet aux genoux de Dotty.) Oh ! pardon ! (Sur un mouvement irrité de Saint-Franquet.) J’avais oublié, quoi !

Dotty, sans se déconcerter, avec un petit salut de tête. — Mamoiselle !

Bichon, un peu pincée. Bonjour, mademoiselle… Ne vous dérangez pas ! ne vous dérangez pas ! (Rentrant, en parlant à Plantarède qu’on ne voit pas.) C’est sa sœur !…

Dotty, à Saint-Franquet. — Mamoiselle Bichon, n’est-ce pas ?

Saint-Franquet. — Hein ? Heu… oui !

Dotty. — La maîtresse à vous.

Saint-Franquet. — Ma maît… Mais non, non !

Dotty. — Oh ! vous pouvez dire ! Très gentille. Beaucoup de chic.

Saint-Franquet,