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Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/78

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XII====

Saint-Franquet, Micheline, le Gérant, les Voyageurs, puis le Garçon.

Le Gérant, un melon à la main. — Là, tout droit, par là… et vous trouvez la source à main gauche.

Les Voyageurs. — Merci ! merci bien.

En voyant les sourires et les petits saluts de Saint-Franquet et de Micheline, ils paraissent un peu étonnés, rendent les saluts et sortent à droite.

Le Gérant, à Saint-Franquet et Micheline. — Ah ! Monsieur est heureux ! Il a enfin trouvé madame Plantarède.

Saint-Franquet, gêné. — Oui ! oui !

Micheline, suffoquée. — Quoi ?

Elle se lève brusquement. Saint-Franquet fait de même.

Le Gérant, sur un ton de confidence pleine d’intérêt. — Je vais changer mon melon ; il est trop avancé…

Saint-Franquet,