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Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/87

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XIII====

Saint-Franquet, Micheline, et à la fenêtre, Plantarède, puis Des Saugettes

Plantarède, toujours en gilet de flanelle, ouvrant la fenêtre. — Tu m’appelles, ma chérie ?

Saint-Franquet. — Non ! non !

Plantarède. — Ah ! bravo ! la main dans la main ! Ah ! bien, celle-là… C’est pour me faire voir ça ! Bravo !

Des Saugettes paraît derrière Plantarède et applaudit aussi, sa main droite toujours dans le gant de crin.

Saint-Franquet, gêné, s’efforçant de cacher son trouble, mais sans lâcher la main de Micheline qui cherche à se dégager. — Oui, oui, oui… (A Micheline.) N’est-ce pas ?

Micheline, idem. — Oui, oui, oui !…

Saint-Franquet. On s’est expliqués ! Madame Plantarède m’aime, maintenant.

Micheline. — Comment !

Saint-Franquet. —