Aller au contenu

Page:Feydeau Occupe toi d Amelie.djvu/122

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

VAN PUTZEBOUM.

On n’a pas apporté une corbelle ! Ah ! bien, celle-là !… Mais qu’est-ce qu’ils font, ces animaux ?… Ah ! bé !… Vous n’avez pas le téléphon que j’y leur flanque un peu une savônnâde.

AMÉLIE.

Mais si, nous l’avons.

VAN PUTZEBOUM.

C’est chez le fleuriste, la, boulevard de la Mâdéléne, qui vend des bouquets de mariage… et des couronnes môrtuhères.

MARCEL.

Landozel !

VAN PUTZEBOUM.

Si ! oui ! me semble !… Ils sont bêtes, savez vous, dans cette maison. Je leur dis : « C’est pour mademoiselle Amélie d’Avranches, la jeune file qui marie M. Courbois ; vous devez la savoir ? » Ils me répondent « Non ! d’Amélie d’Avranches, on ne sait que la d’Avranches qu’elle est avec M. de Millédieu ! »

ENSEMBLE.

MARCEL, à part.

Sapristi !

AMÉLIE.

Oh !

POCHET.

Hum !