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THÉÂTRE.
Paul.
Jamais !
Valentine, s’agenouillant.
Tiens, comme cela, près de moi !
Paul.
Tu le veux ?
Valentine.
Oui, je t’en prie.
Paul, s’avançant gravement vers Mme de Grémonville.
Je vous fais mes excuses, Madame.
Madame de Grémonville.
Ah ! Monsieur, la vie en commun n’était qu’un beau rêve ! je vois bien maintenant qu’il vaut mieux nous séparer… dans notre intérêt réciproque.
Valentine.
Oh ! chère maman, ne nous quitte jamais, jamais !
Paul.
Je vais joindre ma prière à la sienne, Madame.
Madame de Grémonville, laissant prendre sa main par valentine, qui la met dans celle de Paul.
Ah ! Monsieur, vous ne connaissez pas le cœur d’une mère !
Thérèse.
Quoi qu’il en soit, je pense que notre visite à Mme de Mérilhac est toute faite ?
Madame de Grémonville, se redressant convulsivement.
Non pas ! j’ai des compliments à lui adresser. Allons,