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Page:Flourens - De la longévité humaine et de la quantité de vie sur le globe (1855).djvu/141

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maux que l’homme protége, et l’homme lui-même, à qui toute supériorité sur ce globe, même celle du nombre[1], paraît ultérieurement dévolue.


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  1. « Le nombre des hommes est devenu mille fois plus grand que celui d’aucune autre espèce d’animaux puissants. » (Buffon.)