vements de locomotion dans le cervelet, l’intelligence dans les lobes on hémisphères cérébraux, la force même de la vie, la force pure et simple de la vie, dans ce que j’ai appelé le nœud vital[1]. Toutes ces forces sont également obscures.
Depuis qu’il y a des physiologistes qui écrivent, il y a des physiologistes qui cherchent à définir la vie. Quelqu’un d’entre eux y a-t-il jamais réussi ?
« J’appelle principe vital, dit Barthez, la cause qui produit tous les phénomènes de la vie dans le corps humain[2]. » Ce n’est là qu’une définition métaphysique, s’écrie Chaussier ; et lui, qui certes n’était pas métaphysicien, nous donne celle-ci : « la vie est l’effet de la force vitale. »
Je cite la définition d’un ancien physiologiste : « la vie est l’opposé de la mort. » On rit.
Je cite la définition de Bichat : « la vie est