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Page:Fontanes - Œuvres, tome 1.djvu/338

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LA MAISON RUSTIQUE.

Grand homme ! ô L’Hopital ! puisse encor de tes mœurs
La dignité modeste attendrir tous les cœurs !
Heureux qui, comme toi, vers la fin de sa vie,
Détrompé des grandeurs, oublié de l’envie,
Peut vivre au sein des champs, et goûter les vrais biens
Que peignaient tes beaux vers, affaiblis par les miens !


fin du premier chant.