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du jeune homme, car elle trouvait mille prétextes pour se pencher vers lui et approcher sa poitrine de son visage.

Oh ! les jolis petits seins ! Et comme Roger voudrait bien les explorer de la main, les caresser, les baiser comme il avait baisé ce matin, la jambe et la cuisse de Mademoiselle de Verneuse !

Et comme le jeune Roger était assis tout près de Jacqueline, il tentait comme par mégarde, d’effleurer sa poitrine, à travers la fine étoffe du corsage.

Jacqueline en apparence n’y portait nulle attention, mais au cours des tentatives de son voisin, l’on pouvait constater chez elle, un léger frémissement, en même temps, que durcissait à l’extrémité des jolis globes, la pointe mi-