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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/156

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que signifiait l’œillade polissonne de la jolie Colette, quand il l’accompagna tout à l’heure jusqu’à la voiture du vieux Gaspard.

N’était-ce pas un encouragement à faire de Jacqueline, enfin, sa maîtresse ?…

Roger ne se trompait guère, car Colette aujourd’hui sortait seule en dehors du domaine, pour permettre à la petite châtelaine, de succomber au gros péché mystérieux indiqué par son catéchisme : l’œuvre de chair interdite en dehors du mariage !…

Jacqueline boude toujours le pauvre Roger. Et cependant, celui-ci, depuis ce matin, s’ingénie à plaire à la blonde enfant.

Après le déjeuner, il se décide enfin à lui proposer une prome-