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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/160

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bientôt, écartant les derniers obstacles de soie, il sent la douce toison sous ses lèvres avides d’arriver au trésor caché.

 

Jacqueline manifeste son plaisir, et ses gémissements excitent davantage son compagnon dans son amoureuse besogne.

Très longuement, il l’embrasse et la caresse, mais soudain, son désir s’exaspérant en se précisant, il s’arrache de l’étreinte des cuisses nerveuses ramenées sur son cou, glisse le long du corps étendu, et peut atteindre le visage. De ses lèvres, il étouffe les gémissements de la jeune fille, et il peut enfin accomplir ce qu’il désire depuis longtemps.

Il a d’abord quelque peine, et ses mouvements malhabiles ne