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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/36

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— Jolie, jolie ! Je suis jolie… Colette me l’a dit hier, et elle m’a embrassée dans la voiture.

Et Jacqueline caresse ses seins, ses hanches et son délicieux globe bien bombé.

Elle s’habille rapidement et revient s’asseoir devant la glace. Voilà, elle croise ses jambes l’une au-dessus de l’autre comme elle a vu sa cousine le faire dans la voiture.

Ah ! la robe est trop longue !… Il faut la raccourcir, comme cela…

Et Jacqueline ramène au-dessus de son genou le volant et l’ourlet.

Eh ! bien, ma foi, le spectacle est très bien ! Ses jambes ne sont pas mal du tout ! Pas plus mal que celles de Colette de Verneuse. Et Jacqueline pense que si une