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Page:François-Félix Nogaret, L'Arétin François, 1787.djvu/20

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FIGURE

PREMIÈRE




Des feux les plus ardens le con me rend la proie,
Le con, par excellence, eſt l’ouvrage des Dieux ;
L’homme au con doit ſa vie, & plus encor ſa joie ;
Voltaire a beaucoup fait : il n’a rien fait de mieux,
Du ſpectacle jamais je ne fus idolâtre,
Il laiſſe à froid ſouvent & l’eſprit & le cœur.
De la place où je ſuis je me forme un théatre,
Le con, c’eſt-là ma piece, & mon vit eſt l’acteur.