Aller au contenu

Page:François-Félix Nogaret, L'Arétin François, 1787.djvu/40

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

FIGURE

SIXIÈME.




J’éprouve, à ton aſpect, un doux frémiſſement,
 À ta voix ſeule, je ſoupire ;
J’en ſuis encore à mon premier moment,
 Plus je jouis, plus je deſire.
J’aime à te careſſer, l’amour fait mon bonheur.
Qu’une froide coquette, orgueilleuſe ſtatue,
De ſes riches bijoux étale la ſplendeur,
Ma plus belle parure eſt d’être bien foutue.