Page:François-Félix Nogaret, L'Arétin François, 1787.djvu/44

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

FIGURE

SEPTIÈME.




Prends, leve & ſoutiens-moi la cuiſſe
Pour le fourrer tout autant qu’il ſe puiſſe.
J’aime le vit. — Moi, j’adore le con ;
Qui n’eſt pas fouteur n’eſt pas homme.

— Ô que tu le fais bien !.. pouſſe... à merveille !.. bon !..
Ah ! mon Roi ! c’eſt ainſi qu’il faut que je te nomme ;
Je ſens... je vais mourir : trépas délicieux !
Ton vit me fait pâmer. — Ton con me met aux cieux !