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Page:François-Félix Nogaret, L'Arétin François, 1787.djvu/60

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FIGURE

ONZIÈME.




Nous ſommes l’un & l’autre auſſi chauds que pigeons :
 Ta langue ! que je la mordille.
 Branlons, foutons, limons & déchargeons ;
Qu’en mouvement ton corps le diſpute à l’anguille.
Bien ! très-bien, mon cher cœur ! c’eſt de cette façon.
— Toi, ne me quitte point... Ah !... la liqueur divine
 Circule, à grands flots, s’achemine...
Es-tu prêt ?.. Je décharge... Ah ! mon Dieu ! que c’eſt bon !