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Page:Froissart - Poésies (1829).djvu/198

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POÉSIES

Se n’en poet-il ne n’est aultrement voir.
Ensi appert que je fai mon devoir
Tout ensi com l’Orloge fait le sien.
Or a en vous tant d’avis et de bien
Que j’ai espoir, ensi je le suppose,
Que vous ferés, de ceste simple chose
Que j’ai à moi appropryé et mise,
Compte moult grand ; s’userès de franchise
Et s’en serai plus lies et plus entiers
En tous mes fès ; et il m’est grans mestiers
Qu’il soit ensi, et vos frans coers le voeille
Qui en bon gré cesti dittie recoeille.