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Page:Froissart - Poésies (1829).djvu/528

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POÉSIES

En la creature humainne,
Le pechié qui le demainne ;
Dont la sainte ame se plaint
Et complaint.
Mès no plaint
Sont remis à voie sainne
Par ton fil, qui nous ramainne
La croix où on le vit taint
Et destraint
Et attaint
De mort horrible et villainne.
Or te pri, viergne purainne,
Que se pechiés nous constraint
Et nous taint,
Que no claint
Aient vois en ton demainne
Là ou toute joie maint.


EXPLICIT LE TRETTIÉ AMOUROUS DOU JOLI BUISSON DE JONECE.

FIN DU TOME DIXIÈME DE LA COLLECTION.