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Page:Fromentin - Dominique, 1863.djvu/386

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les tourelles et se retourna pour considérer les petites fenêtres en lucarne de l’ancien appartement de Dominique.

Dominique arrivait sur la terrasse ; ils se reconnurent.

« Ah ! quelle surprise, mon bien cher ami ! dit Dominique, en marchant au-devant du visiteur, les deux mains cordialement ouvertes.

— Bonjour de Bray, » dit celui-ci avec l’accent net et franc d’un homme dont la vérité semblait avoir, pendant toute sa vie, rafraîchi les lèvres.

C’était Augustin.

FIN.