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Page:Frondaie - L'Homme à l'Hispano - 1925.djvu/217

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l’homme à l’hispano

— Mon avoué, mon avocat, les vôtres, et les notaires, le mien, le vôtre…

Il se retourna vers Dewalter :

— Celui de monsieur… régleront les choses en dehors de nous.

Il alla prendre son chapeau.

— Ma chère, j’ai perdu. J’avais parié que vous ne trouveriez jamais dans notre monde un homme digne de vous et de votre amour… Vous avez trouvé M. Dewalter…

De nouveau, il l’examina. Il le vit droit, correct, les bras croisés. Il devina l’effort qu’il faisait pour ne pas s’écrouler, Il lui sourit :

— Rendez-la heureuse. Cela vous sera facile : vous êtes un parfait gentleman.

Il les enveloppa de son regard comme d’un filet dans lequel il les avait pris et, sans dire un mot de plus, il s’en alla.

— C’est un pauvre homme, murmura Stéphane.