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Page:G.A. Mann - La Volonté et la Fortune.djvu/7

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LA VOLONTÉ et LA FORTUNE



Tout le monde paraît d’accord sur ce fait que la fortune résulte de la Volonté et non du hasard des héritages ou des loteries ; il est parfaitement vrai, que, sans volonté, l’homme ne saurait avoir le succès financier, que même s’il l’obtenait, ce succès provisoire ne tarderait pas à couler entre les doigts de son possesseur temporaire.

Il existe deux sortes de fortunes, celle qui dure, c’est-à-dire celle qui est stable, et celle qui disparaît au bout d’un temps plus ou moins court. Dans le premier cas, nous avons l’indication d’une volonté bien réglée, poursuivant un but bien déterminé ; dans le deuxième, nous voyons le résultat d’une volonté vacillante qui a besoin d’être consolidée.