Page:Garcin de Tassy - La Langue et la littérature hindoustanies en 1876.djvu/38

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voyage à Karbala, en Arabie, pour y vénérer les tombeaux d’Haçan et de Huçaïn, par Arschad ullah ; Lakhnau, 1875, 110 p.

Mîrâj ulmazâmîn « l’Ascension des significations », histoire des douze imams, ouvrage schiite, par Ismaïl Huçain, in-8o de 304 pages, imprimé à Lakhnau en 1875, comme les précédents et les suivants.

Guldasta-i Khandân « le Bouquet de famille », poésies diverses, par le munschi Munawar-i Ali.

Gulschan-i ’ischc « le Jardin d’amour », poëme de 273 pages in-8o, qu’il ne faut pas confondre avec plusieurs autres ouvrages de même titre mentionnés dans mon « Histoire de la littérature hindouie et hindoustani ». Celui-ci a pour sujet les Amours du prince Mah-lica et de la princesse Husn-ara, et il a pour auteur le khwaja Badschah Safir.

Muntakhab ultawârîkh « Abrégé des chroniques », traduction urdue de 545 pages de l’ouvrage persan qui porte le même titre, par Ihtischam uddin.

Tuhfat ul’auwâm « Cadeau au peuple », par Haji Haçan Ali ; réimpression en 154 pages d’un ouvrage mentionné sans nom d’auteur dans « l’Histoire de la littérature hindouie et hindoustani »[1].

Tilism-i façâhat « Le Talisman de l’éloquence », poëme de 181 pages, par Muhammad Huçain-jah.

Mufîd ulinschâ « Ce qui est utile pour la rédaction des lettres », par le pandit Schiv Narayan[2] ; édition de Lakhnau, 1875, 46 pages in-8o.

Guldasta-î Ta’aschschuc « Bouquet de Taaschschuc », c’est-à-dire diwan ou recueil des poésies de Huçain Taaschschuc[3] ; ibid., 108 p.

  1. T. III, p. 400.
  2. J’ai mentionné cet ouvrage, « Hist. de la littér. hind. », t. III p. 444, mais sans en indiquer l’auteur.
  3. Voy. l’article qui est consacré à cet écrivain dans l’« Hist. de la littér. hind. », t. III, p. 192.