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Page:Gaskell Craik - Trois histoires d amour.djvu/205

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— Vous n’êtes pas fâchée de ce que je vous dis là.

— Non. Adieu.

Je la regardai aussi longtemps que me le permit la rapidité du train ; elle restait là ferme et grave, son châle serré autour de sa taille, comme si elle ne voulait rien laisser flotter en elle ou autour d’elle, et ne rien abandonner au vent de la fantaisie, du sentiment ou du hasard.