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Page:Gautier - Constantinople, Fasquelle, 1899.djvu/173

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LE CIMETIÈRE DE SCUTARI.

quefois, quand un cavalier avait le dos tourné, une tête charmante se penchait à la fenêtre d’un talika.

Le soleil déclinait, et je repris, tout rêveur et plein de vagues désirs, le chemin de Scutari, où mon caïdji m’attendait patiemment, entre une tasse de café trouble et un chibouck de Latakyé comme il en avait le droit, étant chrétien grec non soumis aux rigueurs du Ramadan.