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Page:Gautier - La Chanson de Roland - 2.djvu/502

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TABLE GÉNÉRALE

vitrail de Chartres (dessin de M. Fichot), 66, 67. ═ Les Rolandssaülen, cxxiii et suiv.

IER (couplets assonances en). Les laisses en ier sont fort distinctes de celles en er. Exposé de cette théorie et rectification d’un passage de notre Introduction, 51, 52. ═ Autre note rectificative sur cette question, au vers 1500, p. 146. V. aussi l’Errata du premier volume. ═ Comment les assonances en ier ont leur raison d’être dans une loi philologique. Sont en ier un certain nombre de monosyllabes et surtout les mots français dérivés de vocables latins qui avaient un i atone, soit avant, soit après la tonique. V. Assonances. — Dans les Remaniements aussi, les couplets en ier sont, fort naturellement, distincts de ceux en er, vers 342, p. 84.

IMAGINATION. Quel est le rôle de l’imagination dans la formation d’une légende épique, x, xi. ═ Quel a été son rôle spécial dans la formation de la légende de Roland, xxii, xxiii.

IMPARISYLLABIQUE (Déclinaison). Nom impropre donné à la déclinaison des Substantifs qui déplacent l’accent, 4.

IMPHE. Nom géographique que personne n’a pu restituer, 246.

IRASQUETA, 109, 110.

ITALIE. Histoire de notre légende en Italie. Première époque. Les traditions orales, les Jongleurs, cxxxi. ═ Deuxième époque. Les Romans franco-italiens, le Roland de Venise (manuscrit iv), la Prise de Pampelune, etc. Faut-il voir un dialecte spécial dans la langue de ces poëmes ? cxxxii, cxxxiv. ═ Troisième époque. Les traductions ou imitations italiennes en prose. Les Reali (1350, environ), cxxxiv-cxxxvi. ═ Quatrième époque. Les poëmes italiens faits sur les Reali, et en particulier la Spagna istoriata, « prototype de l’Épopée italienne », cxxxvi. ═ Cinquième époque. Les poëmes originaux : a. Pulci (Morgante maggiore, 1485) ; b. Boiardo (Orlando innamorato, 1486) ; c. l’Arétin (Orlandino) ; d. l’Arioste (Orlando furioso, 1516). Imitations de ces poëmes jusqu’au commencement de notre siècle, cxxxvi-cxxxix.

ITINÉRAIRE de Charlemagne dans la Chanson de Roland. V. notre Note géographique, 99-103, et la Carte qui sert de frontispice au deuxième volume, et où cet itinéraire est marqué.

ISLANDE. La légende de Roland dans la littérature islandaise : la Karlamagnus Saga, cxxvii et suiv. V. Karlamagnus Saga.

IVON et IVORIE. Deux des douze Pairs, 161.

J

JACQUES D’ACQUI. Sa Chronique (fin du xiiie siècle) ; sa légende d’Ottonnel, 40.

JAZERENC. Explication de ce mot, 123. V. aussi le Glossaire.

JEHAN DE LANSON. Résumé complet de cette Chanson de geste (commencement du xiiie siècle), qui n’a aucun fondement historique ni traditionnel, 34, 35. ═ Du rôle qu’y joue Roland, 62, 114.

JONAIN. Sa traduction du Roland en vers de dix syllabes (1861), clxxxiii, clxxxiv.

JONGLEURS, lxxi-lxxiii. Ils chantent en Italie les exploits de Charles, de Roland et d’Olivier ; texte à l’appui de ce fait, cxxxii. ═ Ce sont aussi des juglares qui popularisent notre légende en Espagne, cxl.

JORNANDÉS. Texte célèbre sur les habitudes poétiques des Germains (De Gothis cap. iv), xxiv.

JOSUÉ. Le miracle de Josué arrêtant le soleil a été imité par l’auteur du Roland, xxiv.

JOURDAIN DE BLAIVES. Chanson de geste, 273.

JOYEUSE. Notice sur l’épée de Charlemagne, 190, 191.