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Page:Gautier - La Comédie de la mort.djvu/178

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LES VENDEURS DU TEMPLE.


I.


Il est par les faubourgs, un ramas de maisons
Dont les murs verts ont l’air de suer des poisons
Et dont les pieds baignés d’eau croupie et de boue
Passent en puanteur l’odeur de la gadoue.