Page:Gay - Albertine de Saint-Albe, Tome II.djvu/139

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plus au fait de toutes les affaires de madame d’Ablancourt que son fils ne l’était lui-même.

Comme mes lettres étaient devenues beaucoup plus intéressantes depuis la confiance que je lui avais accordée, Léon m’écrivit un jour celle-ci :

Londres, ce…

Mademoiselle,

En recevant les lettres obligeantes que vous voulez bien m’adresser, il m’est impossible de ne pas féliciter ma mère d’avoir auprès d’elle une personne douée d’autant de mérite et de sensibilité. J’éprouve un plaisir infini à vous devoir de ses nouvelles.