Cette page a été validée par deux contributeurs.
III
— Qu’est cela ? une trahison, un guet-apens ! se récria Kehlmark en prenant un air intrigué.
— Nos jeunes gens de la Ghilde de Sainte-Cécile, notre « harmonie », qui viennent vous souhaiter la bienvenue, monsieur le comte ! annonça cérémonieusement le fermier des Pèlerins.
Les yeux de Kehlmark brillèrent d’un feu oblique : « Une autre fois, je vous montrerai mon atelier… Allons les recevoir ! » dit-il, en rebroussant chemin et en se hâtant de descendre l’escalier d’honneur, heureux, semblait-il, de cette diversion contre laquelle pestait intérieurement la rusée Claudie.
Les Govaertz et les autres invités le suivirent en bas dans la vaste orangerie dont on avait ouvert