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Page:Germain - Œuvres philosophiques, 1896.djvu/367

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des anciens âges, n’est point une affaire de foi sans examen ; si votre cœur s’est ému à la pensée d’avoir bientôt, à votre tour, le devoir d’accroître le trésor des progrès accomplis que nous vous transmettons, vous apporterez, aujourd’hui dans vos études et plus tard dans votre conduite, la résolution de servir avec tendresse ces deux filles immortelles de notre histoire : la Patrie et la République. Pour moi, au souvenir de cette touchante solennité, où les palmes de la gloire se mêlent aux lauriers de la jeunesse, j’oserai dire, modifiant le mot de Titus : Je n’ai pas perdu ma journée. »

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PIÈCE N° 4

EXTRAIT DE « LA PHILOSOPHIE POSITIVE » REVUE DIRIGÉE PAR LITTRÉ

Numéro de septembre-octobre 1879.

Appréciation du docteur Segond



Œuvres philosophiques de SOPHIE GERMAIN,
suivies de Pensées et de Lettres inédites et précédées d’une Étude sur sa vie et ses œuvres, par Hte Stupuy.


Un poète sympathique et autorisé, publiant les œuvres philosophiques d’un grand géomètre, et les