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Page:Gervaise de Latouche - Histoire de Dom Bougre, Portier des Chartreux,1922.djvu/234

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rentes, la gorge découverte, les jupes levées, se chatouillaient diversement le con, en s’agitant avec fureur et en exprimant par leurs soupirs et leurs exclamations le plaisir qu’elles ressentaient ; marque assurée de celui qu’elles feraient ressentir.

Tantôt toutes se mettaient nues, et me présentaient la volupté dans tous les points de vue qu’elles croyaient pouvoir me flatter. L’une, le visage appuyé sur un canapé, me montrait le revers de la médaille, et, passant sa main par dessous son ventre, elle écartait les cuisses et se branlait, de manière qu’à chaque mouvement que faisait son doigt, je pouvais voir l’intérieur de cette partie qui m’avait autrefois causé de si vives émotions. Une autre, sur un lit de satin noir, couchée sur le dos et les jambes pendantes et écartées, me présentait à l’endroit la même image que la précédente ne m’offrait qu’à l’envers. Une troisième me faisait coucher par terre entre deux chaises, et, mettant ensuite un pied sur l’une et un pied sur l’autre, elle s’accroupissait, et son con se trouvait perpendiculairement sur mes yeux. Dans cette situation, elle travaillait avec un godmiché, pendant qu’une autre, placée devant moi, foutait de toutes ses forces avec le plus vigoureux de nos moines, nu comme elle, et posé de façon que je voyais tous les mouvements et du con de la Sœur et du vit de sa Révérence, qui, semblable à ces béliers que l’on suspendait autrefois aux portes d’une forteresse pour les enfoncer, tombait avec impétuosité sur le ventre de la Sœur. Enfin, on offrait à ma vue les images les plus lubriques, tantôt toutes à la fois et tantôt successivement.

Quelquefois, on me couchait tout nu sur un banc ; une Sœur se mettait à califourchon sur ma gorge, de