fallu, pour qu’on l’aperçût, — et à quelle lueur ! — qu’il écrivît : le Père Duchêne !
Et dans quel but ? Dans quelles circonstances ? Mourant de faim, après le siège ; pour, avec son flair de journaliste et son procédé coutumier d’adaptation, arracher un succès avec un morceau de pain à l’actualité, pour essayer d’un pastiche au goût du jour. Je vous dis que c’est le pastiche qui l’a perdu !
Vermesch, en ressuscitant le Père Duchêne, j’en suis certain, n’a pas, une seconde, prévu son importance folle et ses effroyables conséquences.
Il a voulu pasticher Hébert, comme il avait pastiché Villon, Rabelais, Hugo, Leconte de l’Isle, etc…
Est-ce à dire que je veuille l’absoudre ? Non ! Mais j’interviens centre les traditions exagérées qui transforment en épouvantes